SOVA dévoile « Déphasée » : une mini-série pour briser le silence autour du SOPK

À l’occasion de la Journée mondiale du SOPK, la marque SOVA dévoile une mini-série pour sensibiliser à cette pathologie qui touche 1 femme sur 10.

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Un combat personnel devenu mission collective

Le 1er septembre marquait la Journée mondiale du Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), une date que SOVA, première marque française de compléments alimentaires naturels dédiée à cette pathologie, a choisi pour dévoiler un projet ambitieux : « DÉPHASÉE« , une mini-série de sensibilisation réalisée par Lena Dana.

Eva Lecoq, cofondatrice de SOVA et elle-même concernée par le SOPK, porte ce projet comme une évidence. « J’ai mis 4 ans à poser un nom sur ce que je vivais. Ce n’est pas une fatalité : mieux comprendre le SOPK, c’est déjà mieux vivre avec. Mais pour ça, il faut en parler« , confie-t-elle.

Cette mini-série s’inscrit dans la continuité du combat mené par SOVA depuis sa création en 2022. Fondée par Eva et Solène Lecoq, la marque répond à un vide thérapeutique en accompagnant les femmes atteintes du SOPK avec une approche naturelle. En trois ans, elle s’est imposée comme la voix d’une communauté longtemps ignorée, rassemblant plus de 170 000 abonnées sur les réseaux sociaux et générant des millions de vues.

 

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« Déphasée » : donner un visage au SOPK

La série retrace le parcours de Juliette, une femme confrontée au SOPK de l’adolescence à l’âge adulte. En 13 minutes découpées en épisodes, « Déphasée » met des mots et des images sur une réalité complexe : absence ou irrégularité des règles, infertilité, prise de poids, acné, hirsutisme, chute de cheveux… autant de symptômes que vivent des millions de femmes mais qui restent trop souvent minimisés.

« On voulait faire comprendre au public ce que c’était de vivre avec le SOPK. De ce point de vue là, le pari est réussi !« , se félicite Eva Lecoq.

Une urgence de santé publique

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon l’INSERM, 70% des cas de SOPK ne sont pas diagnostiqués, alors même que cette pathologie constitue la première cause d’infertilité féminine. Cette réalité souligne l’ampleur du défi que représente la sensibilisation autour de cette maladie.

Pour SOVA, l’objectif va au-delà de la simple sensibilisation. « Sova, c’est avant tout une cause, un combat sociétal visant à faire du SOPK une maladie reconnue, comme l’est devenue l’endométriose », explique l’équipe. La marque souhaite collectivement briser le mur du silence, à l’image de ce qu’ont vécu d’autres pathologies gynécologiques.

 

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Une diffusion pensée pour toucher le plus grand nombre

Diffusée épisode par épisode sur les réseaux sociaux, la série se veut accessible et pédagogique. Cette stratégie de diffusion permet de toucher directement les communautés concernées, là où elles se trouvent et échangent déjà sur ces sujets.

À travers des récits du quotidien sensibles et percutants, cette œuvre visuelle entend briser les tabous, éveiller les consciences et mobiliser l’opinion publique sur une pathologie encore trop peu reconnue et prise en charge par le système de santé.

SOVA et Lena Dana ont souhaiter réunir expertise médicale, témoignages authentiques et narration cinématographique pour créer un impact durable sur la perception d’une maladie longtemps ignorée.

Découvrez tous les épisodes de « Déphasée » sur le compte Instagram @sova_sopk et plongez dans l’univers de SOVA : sa mission, ses actions de sensibilisation et ses compléments alimentaires naturels dédiés au SOPK.

Aïssata K.
Aïssata K.

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